Il y a plusieurs endroits où vous pouvez télécharger des modèles gratuits pour impression 3D. En voici quelques-uns de nos favoris :
Thingiverse : https://www.thingiverse.com/
Cults 3D : https://cults3d.com/
Printables : https://www.printables.com/

– Ultimaker Cura : https://ultimaker.com/software/ultimaker-cura Très flexible et intuitif, ce logiciel permet en quelques minutes de préparer son modèle pour l’impression. Plus l’utilisateur se sent confiant, plus d’options il pourra contrôler lui-même.

– PrusaSlicer : https://www.prusa3d.com/page/prusaslicer_424/ : Marque de commerce bien reconnue, cette compagnie développe aussi un logiciel simple d’utilisation et performant.

Il n’y a pas de « Slicer » parfait. Tous et chacun avons nos préférences selon l’utilisation que nous en faisons.

  • Stockage sous vide avec dessicant (sachets anti-humidité).
  • Utilisation d’une boîte de séchage active pendant l’impression (type eSun ou Polymaker).
  • Séchage régulier au déshydrateur ou dans un four à filament (45-60°C selon le matériau).
  • Contrôler l’hygrométrie : garder le taux d’humidité sous 20% dans l’espace de stockage.

Symptômes d’un filament humide : bulles, claquements dans l’extrudeur, couches irrégulières, stringing excessif.

  1. Niveler le plateau (manuel ou automatique).
  2. Ajuster la distance buse-plateau :
    • Trop haut → première couche ne colle pas.
    • Trop bas → écrasement excessif et bouchage.
  1. Vérifier la température du plateau et de la buse.
  2. Nettoyer la surface avec alcool isopropylique 99%.
  3. Utiliser une jupe ou un brim pour amorcer l’extrusion.

Une bonne première couche = 80% de la réussite de l’impression.

Source : Le wiki de Bambu Lab propose des diagnostics pour les problèmes de première couche (fissures, manque d’adhésion, etc.) en relation avec le débit ou une buse sale. (https://wiki.bambulab.com/en/knowledge-sharing/identify-and-fix-first-layer-issues-with-a-test-print)

  • Rétraction :
    • Distance : 0.6 à 1.2 mm (direct drive) / 2 à 5 mm (Bowden).
    • Vitesse : 25-40 mm/s selon le filament.
  • Température :
    • Réduire par paliers de 5°C pour limiter l’écoulement.
  • Déplacement à vide (travel speed) :
    • Minimum 150 mm/s pour limiter les fils.
  • Stockage du filament :
    • Toujours au sec, surtout pour PETG et TPU.

Source : Le guide « Hygroscopy (3D Printing) » explique comment l’humidité provoque plus de stringing via l’évaporation de l’eau dans le filament chauffé. (https://all3dp.com/2/hygrosopy-3d-printing-guide/)

 

  1. Hauteur de couche adaptée :
    • 0,20 mm standard pour équilibre vitesse/qualité.
    • 0,12 mm pour détails fins.
    • 0,28 mm pour impressions rapides ou prototypes.
  2. Parois et remplissage :
    • 2 à 3 parois suffisent pour la plupart des pièces.
    • Infill 15-25% pour rigidité, plus seulement si nécessaire.
  3. Accélérations et vitesses :
    • Commencer à 80-120 mm/s.
    • Monter progressivement si la machine est rigide (ex. Bambu Lab → 200-300 mm/s possible).
  • Supports arborescents (tree supports) → faciles à retirer, économie de filament.
  • Supports solubles (PVA, BVOH) → parfaits pour géométries complexes avec double extrudeur ou AMS.
  • Orientation du modèle pour réduire les supports :
    • Toujours privilégier une surface plane sur le plateau.
    • Tourner la pièce pour limiter les surplombs supérieurs à 45°.
  • Jeu complet de clés Allen et tournevis.
  • Multimètre pour tests électriques.
  • Pince à dénuder et fer à souder pour réparations.
  • Aiguilles de nettoyage pour buse.
  • Pièces de rechange essentielles :
  • Buses (0.2, 0.4, 0.6 mm).
    • Courroies
    • Hotend complet
    • Ventilateurs
    • Capteurs de filament
  • Utiliser un logiciel de gestion centralisé (Bambu Handy, OctoPrint, Klipper avec Mainsail/Fluidd).
  • Établir une procédure standardisée pour :
    • Le démarrage et la calibration
    • Le suivi de production
    • La maintenance préventive

Astuce pro : Étiqueter chaque imprimante avec son nom et son état (OK / maintenance / en attente) pour éviter les confusions.

Causes possibles :

  • Courroies desserrées ou usées.
  • Poulies mal fixées.
  • Accélération trop élevée.
  • Plateau ou chariot mal lubrifié.

Solution :

  • Vérifier et retendre les courroies.
  • Reserrer toutes les vis de fixation.
  • Réduire la vitesse d’impression de 10-20%.
  • Lubrifier rails et axes.

Source : Dans les discussions 3D printing, les utilisateurs affirment que « tighten the belts and slow the print » est une solution classique pour le ghosting / layer shifting. (https://www.reddit.com/r/3Dprinting/comments/1jqpd11/what_causes_this_ghosting_effect/)

Causes possibles :

  • Buse partiellement bouchée.
  • Filament humide ou de mauvaise qualité.
  • Extrudeur mal calibré.

Solution :

  • Nettoyer la buse avec un cold pull.
  • Sécher le filament.
  • Vérifier l’extrudeur et refaire une calibration E-steps si nécessaire.
  • Nettoyer la surface avec de l’IPA 99%.
  • Vérifier le nivellement et ajuster la première couche.
  • Utiliser un brim pour augmenter la surface d’adhésion.
  • Contrôler la température du plateau :
    • PLA → 55-60°C
    • PETG → 70-80°C
    • ABS/ASA → 100°C+

Causes :

  • Vitesse trop élevée.
  • Courroies mal tendues.
  • Châssis pas assez rigide.

Solutions :

  • Réduire la vitesse et l’accélération.
  • Retendre les courroies.
  • Poser l’imprimante sur une surface stable et lourde.

Source : L’article « How to Fix Ghosting in 3D Printing » détaille les causes mécaniques (vibrations, jeu des vis, contraintes dans le châssis) et insiste sur le réglage des vitesses/accélérations. (https://top3dshop.com/blog/how-to-fix-ghosting-in-3d-printing)